Sept ans après les faits, le tribunal de Bobigny a condamné à des peines de sursis les trois policiers impliqués dans l'interpellation de Théodore Luhaka. La cour n’a pas retenu la qualification de violences volontaires ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente.
La peine me semble trop légère par rapport à l’acte qui a été commis. Je veux bien entendre l’argument qu’il y avait résistance à l’invention policière aussi injuste qu’elle soit, mais ça laisse quand même le message qu’un policier peut agir sans risquer grand chose pour sa carrière même si cela venait à tuer la victime.
C’est juste triste.