Dans de la S-F bien grasse, qui fatigue peu les circonvolutions: j’attaque le tome 3 de “Embers of wars” par G L Powell, les pages se tournent gentiment d’elles-même. Ça n’a pas la profondeur de contexte géopolitique de The Expanse mais on a envie de savoir comment ça finit.
Tiens j’en profite pour signaler que le premier tome de la série “Honor Harrington”, On Basilisk Station, est gratuit pour l’instant (chez kobo). Ça tombe bien car si l’on aime bien son Space Opéra avec des petits soldats dedans, c’est très bien On Basilisk Station ; on a un contexte complexe, un rapport de forces tordu, une situation désespérée - assez bien foutu. Si c’est gratuit c’est bien sûr parce que c’est le tome d’ouverture d’une (longue) série qui, elle, vaut beaucoup, beaucoup moins la peine. Oh ça ne s’effondre pas immédiatement, ça reste haletant un bout, puis ça tourne au ridicule, hélas. En gros, sans spoiler, on passe de Full Metal Jacket (in space) à …Sissy l’impératrice (in spaaaace). Dommage, mais on peut lire le premier, il est très bien et finit sans cliffhanger vers la suite.
Dans de la S-F bien grasse, qui fatigue peu les circonvolutions: j’attaque le tome 3 de “Embers of wars” par G L Powell, les pages se tournent gentiment d’elles-même. Ça n’a pas la profondeur de contexte géopolitique de The Expanse mais on a envie de savoir comment ça finit.
Tiens j’en profite pour signaler que le premier tome de la série “Honor Harrington”, On Basilisk Station, est gratuit pour l’instant (chez kobo). Ça tombe bien car si l’on aime bien son Space Opéra avec des petits soldats dedans, c’est très bien On Basilisk Station ; on a un contexte complexe, un rapport de forces tordu, une situation désespérée - assez bien foutu. Si c’est gratuit c’est bien sûr parce que c’est le tome d’ouverture d’une (longue) série qui, elle, vaut beaucoup, beaucoup moins la peine. Oh ça ne s’effondre pas immédiatement, ça reste haletant un bout, puis ça tourne au ridicule, hélas. En gros, sans spoiler, on passe de Full Metal Jacket (in space) à …Sissy l’impératrice (in spaaaace). Dommage, mais on peut lire le premier, il est très bien et finit sans cliffhanger vers la suite.