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🔴 Un contributeur bénévole expérimenté de #Wikipédia a fait l'objet samedi de menaces directes de la part d'Erwan Seznec, journaliste au Point, pour avoir modifié l'article Wikipédia consacré au journal.
Ces pressions à l'égard de bénévoles sont extrêmement graves et totalement inadmissibles.
Un peu pareil MAIS il y a quelque temps je me suis tout de même rendu compte que “les journalistes” c’était un sac un peu trop large.
Dur mettre dans le même sac un éditorialiste de CNews, un vulgarisateur scientifique, un journaliste d’investigation, un attaché spécial en zone de guerre, …
Maintenant je me contente d’en vouloir aux médias qui poussent un journalisme creux, argumenté à coup de micro trottoirs. Tous ce qu’ils font c’est décrédibiliser et fragiliser une profession très vaste et absolument essentielle à la démocratie. Et en ce moment on est plutôt rassurés quand nos contre pouvoirs se portent biens …
Je ne sais pas si ça me fait du bien, mais je considère un blogueur comme un journaliste amateur.
On a des blogs de chronique musicale -> journalisme de chronique musicale.
On a des blogs de politique -> journalisme politique.
On a des blogs de cuisine -> journalisme de cuisine.
Défendre le journalisme, ce serait donc défendre la blogosphère ; interdire un blog, ce serait censurer un·e journaliste ; les idéaux démocratiques associés à cette profession iraient de pair avec l’internet… Impliquant un triple mouvement de repli – individuel, organisationnel, étatique – face à cette menace démocratique.
Je suis d’accord, je fais une distinction entre “journaliste” (qui passent leur journée à leur bureau) et “reporter” (ceux là j’ai rien contre eux), perso.
J’ai même pas mal de respect pour les reporters, je pense aux reporters de guerre par exemple, ça demande une sacrée abnégation de se dire quelque chose comme “je quitte mon confort et je vais là-bas pendant toute la durée du conflit pour montrer ce qui s’y passe, même si je pourrais ne jamais revenir”.
Seznec, Woessner et Ducros ne sont pas des journalistes, ce sont des pour propagandistes. Le manque de déontologie dans l’affaire Garrido illustre parfaitement les méthodes de cette rédaction verreuse.
Un peu pareil MAIS il y a quelque temps je me suis tout de même rendu compte que “les journalistes” c’était un sac un peu trop large.
Dur mettre dans le même sac un éditorialiste de CNews, un vulgarisateur scientifique, un journaliste d’investigation, un attaché spécial en zone de guerre, …
Maintenant je me contente d’en vouloir aux médias qui poussent un journalisme creux, argumenté à coup de micro trottoirs. Tous ce qu’ils font c’est décrédibiliser et fragiliser une profession très vaste et absolument essentielle à la démocratie. Et en ce moment on est plutôt rassurés quand nos contre pouvoirs se portent biens …
Je ne sais pas si ça me fait du bien, mais je considère un blogueur comme un journaliste amateur.
On a des blogs de chronique musicale -> journalisme de chronique musicale.
On a des blogs de politique -> journalisme politique.
On a des blogs de cuisine -> journalisme de cuisine.
Défendre le journalisme, ce serait donc défendre la blogosphère ; interdire un blog, ce serait censurer un·e journaliste ; les idéaux démocratiques associés à cette profession iraient de pair avec l’internet… Impliquant un triple mouvement de repli – individuel, organisationnel, étatique – face à cette menace démocratique.
Je suis d’accord, je fais une distinction entre “journaliste” (qui passent leur journée à leur bureau) et “reporter” (ceux là j’ai rien contre eux), perso.
J’ai même pas mal de respect pour les reporters, je pense aux reporters de guerre par exemple, ça demande une sacrée abnégation de se dire quelque chose comme “je quitte mon confort et je vais là-bas pendant toute la durée du conflit pour montrer ce qui s’y passe, même si je pourrais ne jamais revenir”.
Seznec, Woessner et Ducros ne sont pas des journalistes, ce sont des pour propagandistes. Le manque de déontologie dans l’affaire Garrido illustre parfaitement les méthodes de cette rédaction verreuse.